Archives mensuelles : décembre 2016

Le stress

  • “ Un état de stress survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face.”
Plus personne ne peut ignorer les conséquences du stress sur la santé physique et mentale.
Bien que nous travaillons beaucoup moins qu’autrefois, le surmenage touche aujourd’hui un Français sur deux. Et à l’échelle européenne, près d’un tiers des travailleurs estime que sa santé est affectée par le stress ressenti sur le lieu de travail.
  • > DES PATHOLOGIES “PROFESSIONNELLES”
Dans un rapport remis au Premier ministre, en février 2010, sur “Bien-être et efficacité au travail”, les auteurs ont identifié une douzaine de situations constituant des facteurs de stress.
Des réorganisations mal expliquées, des difficultés relationnelles avec la hiérarchie, les exigences des clients dans un contexte accru de concurrence et de mondialisation sont autant d’éléments qui fragilisent les salariés et “font perdre le sens du travail”. Selon l’AFSETT, les consultations pour risque psychosocial sont devenues, en 2007, la première cause de consultation pour pathologie professionnelle. La dépression, les maladies cardiovasculaires et certains troubles musculosquelettiques ont été reconnus comme des pathologies liées au stress.
  • > ET SI C’ÉTAIT UNE QUESTION D’OXYGÉNATION ?
L’attention, la précision, le travail intellectuel, le nombre d’informations à traiter et à prendre en compte nécessitent énormément d’énergie et donc d’oxygène au niveau cellulaire.
Une mauvaise oxygénation et nos capacités d’adaptation sont débordées.
Lorsque l’atmosphère est polluée, nous entrons en hypoxie, manque d’oxygène cellulaire.
Les messages sont brouillés, nous ne “captons plus” ! L’urgence est de rétablir une respiration efficace et une oxygénation équilibrée.
  • > STRESS AU TRAVAIL
Comment réagit notre organisme ?
Le stress est une réaction naturelle d’adaptation de notre organisme à une situation d’agression. Notre organisme réagit de manière constante quel que soit le contexte : émotions agréables ou situations de danger. Au départ, il libère dans le sang une vague de messagers chimiques à effets cardio- vasculaires et respiratoires :
l’organisme consomme alors plus d’oxygène et élimine davantage de CO2.
Ensuite, d’autres hormones interviennent, amplifiant cette action et favorisant la dégradation des graisses, produisant plus d’énergie.
Bon et mauvais stress ?
Deux types de stress sont à
distinguer : le bon stress (“eustress”) et le mauvais stress (“distress”).
Le bon stress est vital.
Grâce à lui, l’organisme s’adapte à une situation inhabituelle et nos chances de
survie augmentent ainsi en cas de danger ! Le bon stress est stimulant. Il nous donne la sensation d’être productif, plein d’énergie, optimiste.
A l’opposé, le mauvais stress – celui dont nous parlons le plus à notre époque – épuise les ressources de notre organisme et nous renvoie à des sensations de détresse, à des sentiments d’abandon, de frustration, voire de peur ou de colère.
A la longue, les capacités de résistance de l’organisme s’effondrent, ouvrant la porte à de nombreuses pathologies :
maux de tête, cervicalgies, dorsalgies, lumbago, ulcères d’estomac, fatigue, dépression, …
  • Le rôle de l’oxygène :
L’origine et les conséquences du stress sont intimement liées à l’oxygénation.
L’excès, comme le manque, d’oxygène, entraînent un stress oxydatif de la cellule.
Quand elle n’est plus nourrie correctement, la cellule assure mal ses fonctions et produit
alors des radicaux libres en excès. On parle alors de “stress oxydatif”
.
De très nombreuses études mettent en évidence l’association étroite entre l’altération de ces systèmes de défense et le développement de plus de 200 pathologies différentes ainsi
que le vieillissement. La pollution, les problèmes respiratoires, l’obésité, le ralentissement des systèmes métaboliques provoqué par un mode de vie sédentaire, par le repli sur soi, le tabagisme, sont autant de facteurs qui provoquent un manque d’oxygène tissulaire (hypoxie), lui-même générateur de radicaux libres et donc de stress oxydatif.
Le Bol d’air Jacquier® : un apport équilibré d’oxygène
L’oxygène est indispensable à notre survie. Il est aussi évident qu’un excès, comme un manque d’oxygène, sont préjudiciables à notre santé. Pour contrebalancer les excès
des différents stress, le Bol d’air Jacquier® permet une oxygénation tissulaire équilibrée.
Il s’agit de respirer, quelques minutes par jour, devant un appareil qui améliore l’assimilation de l’oxygène atmosphérique. Le Bol d’air® agit sur de nombreux troubles en augmentant la vitalité générale de l’organisme. Son utilisation favorise immédiatement la détente ; chaque séance est un vrai moment de relaxation.
  • LE STRESS DÉCLENCHE UNE SUCCESSION DE RÉACTIONS DANS NOTRE ORGANISME
Les trois phases du stress
Stress au travail

LA PHASE D’ÉPUISEMENT : l’effet débilitant du stressQuand le stress devient chronique, les capacités énergétiques de l’organismes’épuisent, le taux de glucose chute et les cellules ne sont plus nourries correctement.Plusieurs systèmes neuronaux et endocriniens se dérégulent, provoquant uneaugmentation constante du taux d’hormones corticoïdes.Les possibilités de l’organisme sont dépassées, l’épuisement est atteint et les pathologies apparaissent.

LA PHASE D’ALARME : la tempête hormonaleFace au facteur stressant, l’organisme libère dans le sang des catécholamines (adrélanine et noradrélanine). La vigilance augmente et libère des endorphines.Les sens sont aiguisés et les effets cardiovasculaires sont notoires. Par ailleurs, le rythme respiratoire s’élève et les bronches se dilatent pour augmenter l’apport en oxygène et l’élimination du CO2.

LA PHASE D’ADAPTATION : vigilance et résistance
Si le stress s’installe de manière durable, l’organisme passe à une phase de vigilance.
Une hormone cérébrale, l’ACTH, est libérée et active les cellules de la corticosurrénale qui
produisent les hormones corticoïdes. Celles-ci agissent au niveau énergétique en favorisant la production de sucres à partir de sources non glucidiques.
A ce stade, la pression sanguine reste élevée, les tissus retiennent des composants vitaux
comme le sodium, le potassium s’élimine, l’ immunité s’abaisse, les phases dépressives
apparaissent.